La CPU et ses clivages
L’élection sans opposition (comme en 2008 et 2016) et sans beaucoup de débats du nouveau bureau de la CPU (Gilles Roussel, Christine Gangloff-Ziegler et Olivier Laboux) traduit-elle une situation apaisée ou bien l’existence de divergences insurmontables entre universités, divergences qui ne s’exprimeraient plus en son sein ? Au-delà des questions de personnes, c’est l’occasion de prendre du recul sur les clivages qui traversent cette institution (et cette fonction) à la fois respectée, crainte et dénigrée. Et de comprendre pourquoi le clivage réel n’est pas entre « petites » et « grosses » universités. Read More