Étudiant(e)s : ne parlons pas à leur place !
La situation des étudiants est désormais à la Une de l’actualité et c’est une bonne chose. Mais parce qu’ils/elles ont montré un « civisme » élevé malgré les prédictions « catastrophistes », le meilleur soutien à leur apporter n’est pas de surenchérir dans le larmoyant, le misérabilisme, la déploration et l’émotion. Les « victimiser » en permanence, c’est pointer leurs fragilités, pas leurs talents, leur énergie. Oui leur situation est globalement difficile, mais très différenciée à l’image d’un milieu très hétérogène. C’est pour cette raison qu’aux micro trottoirs racoleurs, je préfère m’appuyer sur 2 enquêtes : celles de l’Observatoire de la Vie étudiante avant et pendant le premier confinement. Et je dois dire qu’il y a quelques surprises ! Laissons leur la parole plutôt qu’aux réseaux sociaux. Read More